Gwen RAKOTOVAO : Dancer - Choreographer - Teacher |
Voici le Message de Gwen, notre Correspondante
à NEW-YORK pour NICE-MADAGASCAR…
Bonjour à Tous,
Mon nouveau livre de photographies "Un voyage à Madagascar" vient tout juste de sortir!
En Septembre 2011 j'ai lancé la première édition de Masimihanta. Un programme de danse pour les enfants défavorisés et orphelins du centre Ketsa se trouvant à quelque kilomètre d’Antananarivo (la capitale).
Ce livre de photographies est une partie de mon voyage.
C'est l'aventure que je veux partager avec vous !...
Acheter ce livre c'est faire une bonne action puisque la moitié des bénéfices de la vente du livre sera reversée pour le programme.
Acheter ce livre c'est faire une bonne action puisque la moitié des bénéfices de la vente du livre sera reversée pour le programme.
Jetez un coup d'œil et passez votre commande si vous le souhaitez, misaotra indrindra amin'ny fahasahiranana...
Merci à tous!
COMPANY'S WEBSITE http://www.gwenrakotovaocompany.com
Tel: 646 842 7078 (US) | 06 61 24 47 54 (FR)
Facebook : https://www.facebook.com/gwen.rakotovao
Lu sur :
Sortie de « Un voyage à Madagascar » de Gwen Rakotovao
" Un voyage à Madagascar » est l’œuvre de Gwen Rakotovao, une jeune danseuse franco-malgache ". |
Il raconte en photos le récent parcours humanitaire de la jeune femme dans son pays d’origine.
Gwen Rakotovao, danseuse et chorégraphe évoluant à New York depuis 2007 retourne dans son pays d’origine, fin septembre 2011 pour lancer la première édition de « Masimihanta », un programme de danse pour les enfants défavorisés et orphelins du centre Ketsa. Elle raconte son aventure dans ce livre. On y trouve une flopée d’images retraçant l’émotion et la joie éprouvée par la jeune femme et par ces enfants. Les clichés se succèdent. Ils commencent par le trajet menant à cet orphelinat. Sur le chemin, on découvre des paysages ensoleillés. L’arrivée à Ketsa est mémorable. On a ensuite toute une série de photos sur la préparation du projet « Masimihanta ». Le résultat est à la hauteur de la somme d’efforts et d’enthousiasme fournie. « Je suis très sensible à la cause des enfants. Cette idée m’est venue naturellement. Mes parents ont une association et travaillent en partenariat avec un centre d’orphelinat. » Confie-t-elle. Par le biais de « Masimihanta », la jeune chorégraphe espère avoir sensibilisé l’opinion publique et les hommes politiques sur la situation des enfants des rues.
Patrice RABE (source AFRIQUINFOS 09-03-2012)
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